Il faut bien commencer un jour ! Ceux dont le projet professionnel se situe entre assiettes et marmites ont de fortes chances d’en passer par ce poste… Le commis de cuisine ou l’aide-cuisinier constitue, en effet, la première étape d’un parcours en cuisine, au sein d’une brigade. Découvrez ses missions et toutes les perspectives qu’offre l’intérim.

Le commis de cuisine : en quoi consiste son poste ?

En alternance, encore en formation, en intérim… La restauration a besoin de ses commis de cuisine, ces apprentis cuisiniers qui éprouvent leur connaissance du métier et l’acquisition de ses fondamentaux au sein d’une bridage, sous l’égide de leur chef de partie, du second et du chef. Ils sont la force vive exécutante de la cuisine, celle qui apprend et qui, polyvalente, fait un petit peu de tout. Celle qui, demain, progressera et prendra peut-être la place de ses aînés. L’aide cuisinier, c’est le premier échelon d’une brigade ; mais c’est surtout un maillon essentiel de la restauration.

Les missions du commis de cuisine

Comme c’est souvent le cas dans les postes où l’on apprend et l’on débute, le commis de cuisine peut avoir des missions très variées. Avec, en vrac : contribuer à la mise en place, s’occuper de la préparation, éplucher les légumes, nettoyer la salade, filer un coup de main au plongeur, être à la réception et au rangement des provisions, participer au nettoyage des postes, remettre en température certains plats, voire dresser et transmettre des assiettes… Autant dire qu’il est bien conseillé de tenter sa chance en intérim ou en extra pour découvrir les facettes du métier.

Aide cuisinier dans un restaurant ? en restauration collective ? en collectivité ?

Car l’aide cuisinier est souvent encore en formation ou en apprentissage, à moins qu’il ne sorte tout juste d’école. Il doit donc se frotter à tous les aspects du métier, avant d’envisager, pourquoi pas, selon ses capacités, de toucher à des tâches très responsabilisantes, grimpant alors dans la hiérarchie des commis. Préparation, dressage, entretien, trois mots qui recoupent une grande partie de ses attributions, se déclinant, néanmoins, selon le contexte dans lequel il travaille : un restaurant ? un traiteur ? une société de restauration collective ? une collectivité ?

Les qualités et compétences de l’aide cuisinier

Les qualités d’un bon commis sont celles d’un bon cuisinier et d’un bon apprenti. Avec, en premier lieu, une évidente capacité à appliquer les consignes et respecter les délais impartis. Il est également nécessaire d’avoir une bonne connaissance des règles d’hygiène et de se montrer impeccable sur ce point fondamental.

Un poste aux qualités fondamentales, mêlées d’un bon sens de l’observation…

Par ailleurs, l’aide cuisinier devra faire montre d’un sens aigu de l’observation : il est là pour apprendre et doit comprendre très vite la logique qui se cache derrière la hiérarchisation des tâches, tout en progressant techniquement et en s’imprégnant de la philosophie de l’établissement. Mais il doit également avoir une bonne endurance, les rythmes dans bon nombre de branches de la restauration étant particulièrement soutenus.

… et du collectif pour apprendre et intégrer correctement la brigade !

Pour finir, le commis est un rouage essentiel d’une bonne cuisine, il fait partie de la brigade et doit, à ce titre, avoir toutes les qualités relationnelles requises pour s’intégrer, participer, contribuer… Tout en restant à sa place, celle d’un cuisinier en formation qui doit encore se forger sa propre expérience. On l’a dit, on le redit, on le répète : à ce titre l’intérim offre des missions idéales pour se confronter à la réalité du métier !

La formation du commis de cuisine

Certes, il est toujours possible de débuter comme commis dans une cuisine sans avoir été formé au métier ou en l’ayant appris sur le tas. Reste qu’il est conseillé de suivre une formation, ne serait-ce que pour rassurer de potentiels employeurs cherchant des commis en intérim, en apprentissage… Au rayon des CAP, l’on peut évoquer les CAP Cuisine, CAP Agent polyvalent de restauration, CAP Restaurant. Mais on peut aussi évoquer les Mentions Complémentaires, se préparant un an après le CAP, le Bac Pro ou le Bac techno ou général, comme celle de Cuisinier en desserts de restaurant. Pour aller plus loin, l’on peut penser au Brevet Professionnel Restauration ou Art de la Cuisine, qui permet d’avoir un niveau Bac. Sans parler du BTS Hôtellerie-Restauration, bien connu des professionnels du secteur !

Pour quelle évolution ?

• Cuisinier
• Chef de partie
• Second de cuisine
• Chef de cuisine…

N’hésitez pas à nous contacter si vous cherchez des offres pour des postes de commis de cuisine ! Nous avons forcément, chez Adaptel Lyon, des missions d’intérim à vous proposer !